Journal d'un érudit anonyme (Livre) : Différence entre versions

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* La magie revient en ces terres, nous le sentons tous ; la Cité Éternelle elle-même semble ne plus être à l'abri. Ses protections mystiques cèdent petit à petit, sans que personne ne puissent rien faire, dirait-on.
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{{Citation|Annale CCXII de la Guilde des Érudits, par le scribe Alastrim|Ce que l'on appelle le journal est généralement composé d'un nombre de volumes plus qu'imposant, le fruit du travail de plusieurs générations d'érudits, le devoir et les volumes se transmettant du maître à l'apprenti depuis des générations. La coutume veut que les tomes ne soient pas signés, et que les références à l'identité de l'écrivain soient réduites au minimum.}}
  
Parallèlement à cela, le Souhait de l'homme de Cythraul a perturbé les nœuds de pouvoir et rapproché de nos terres des endroits qu'aucun vivant ne devrait jamais fouler. Oh, je sais ce que certains pensent - que je ne suis qu'un vieux pessimiste, et que toute cette puissance à notre portée nous permettra, bientôt, de faire de grandes choses - mais je sais déjà ce qui va se passer.
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Le journal anonyme est une tradition que l'on dit aussi ancienne que la Cité Éternelle. N'importe quel maître érudit, consacré en tant que tel par la Guilde, peut en tenir un, qu'il transmettra ensuite à un ou plusieurs de ses apprentis, aucune règle ne stipulant qu'il n'est pas possible de l'écrire à plusieurs mains. Souvent utilisé pour consigner des observations sur ce qui se passe dans le monde, des hypothèses et des sujets de recherche, il est également arrivé que certains le soient comme pense-bête ou comme moyen de communication entre personnes ayant du mal à se croiser. Quand un maître s'éteint sans avoir ou sans désigner d'apprenti, son journal est récupéré par la Guilde qui va le consigner et l'entreposer dans une bibliothèque à cet effet. Il arrive également que certains en fassent don de leur vivant ou peu après les avoir récupérés (l'espace est un problème récurrent chez de nombreux érudits, semble-t-il). Enfin, il n'est pas rare que la Guilde rende publics des extraits de ces journaux, ou même que certains maîtres choisissent d'en faire des copies et de les publier, sans jamais signer cependant.
  
L'Histoire nous l'a montré mille fois : le pouvoir attire le pouvoir. Nous le redécouvrirons bientôt à nos dépends, s'il n'est pas déjà trop tard - un ami de la Cité de Bark'tak m'a déjà rapporté l'émergence de la Meute, le bras armé de la Louve... et que penser de ces trolls qui se nomment eux-mêmes Enfants d'Aurgelmir ?
 
  
Notre futur semble, plus que jamais, incertain - serais-je donc le seul à le voir ?
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[[Livre I : Bouleversements (Journal)|Livre I : Bouleversements]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Incertitude|Incertitude]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Roi des Rois|Roi des Rois]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Silence|Silence]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Attente|Attente]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Doute|Doute]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Héritage|Héritage]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Mystère|Mystère]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Aurgelmir|Aurgelmir]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Arts oubliés|Arts oubliés]]
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# [[Livre I : Bouleversements (Journal)#Arcanes|Arcanes]]
  
Extrait du journal d'un érudit anonyme
 
  
 
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[[Livre II : Précis des races (Journal) |Livre II : Précis des races]]
* J'ai appris une nouvelle terrible aujourd'hui, dont les implications me font trembler rien qu'à leur évocation. Le Roi des Rois est de retour ; sa Citadelle ombreuse domine à nouveau les hauteurs. D'après les rumeurs, ses premiers alliés ne sont pas les moindres - d'autres auraient même renoncé à leur première allégeance pour le rejoindre.
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Issyan. Que voilà un homme mystérieux, aux identités multiples et à l'histoire si méconnue ; entouré de non-vivants (mais en est-il un lui-même ? nul ne le sait), il est, si j'en crois les informations qui me sont parvenues ce jour, le possesseur d'une forme de magie puissante et ancienne... une magie avec laquelle il a condamné la brèche qui permettait d'accéder au Cœur du Carnage, sans doute aidé en cela par ses troupes ou ceux qu'ils nomment ses "frères assermentés".
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Le "Roi des Rois" ne s'est cependant pas arrêté là ; il en a ouvert une autre, qui mène à un lieu enchanteur et plein de vie, que certains surnomment déjà les Jardins Suspendus. Alors qu'ils s'émerveillent de cette démonstration de pouvoir, elle ne fait que renforcer ma conviction que de grandes, trop grandes puissances sont à l’œuvre dans un monde bien mal préparé à les accueillir.
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Les jours passent et se ressemblent, pour combien de temps encore ? J'ai ouï dire, par des amis encore proches de la Guilde, que certains avaient déjà commencé leurs recherches. Ils entendent utiliser ce qu'ils trouvent dans les plans ouverts, ce que l'on nomme, maintenant, Domaines, à diverses fins ; qui cherche l'artefact, qui cherche le pouvoir ou la légende.
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Bientôt nous verrons peut-être des dragons voler à nouveau dans nos cieux, eux que l'on avait eu tant de mal à éradiquer, à moins que des effrits ou je ne sais quels autres démons ne décident de se libérer de leurs chaînes - ou pire encore... Les nœuds de pouvoir, aujourd'hui plus que jamais, pulsent, comme dans l'attente d'un grand évènement, mais tout est silencieux.
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On n'entend guère parler d'Arachnea, de la Louve ou d'Issyan ces jours, et je ne sais pas si je dois m'en réjouir, ou, au contraire, craindre le pire - car comme le disait un auteur anonyme, "Ce qui se fait de grand, se fait dans le silence".
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Une nouvelle semaine sans entendre parler des grands ennemis ; je me demande ce qu'il peut bien se passer. Contrairement à d'autres, je ne suis pas encore assez imprudent pour dire qu'une absence de nouvelles en implique de bonnes... mais laissons ça là.
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Les Jardins Suspendus se sont refermés, sans aucune aide, cette fois. Peut-être que l'Oracle, ou certains de ses ministres, y auront pris part, je ne sais pas - personne ne sait, et c'est d'autant plus étrange, oui.
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La situation me fait penser à ces jours où la chaleur nous écrase, où les vêtements nous collent comme une seconde peau. Il fait lourd, l'orage se prépare - c'est le calme avant la tempête.
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Peut-être me suis-je inquiété pour rien. Tout est calme, si calme que c'en est inquiétant, mais rien ne se passe. Me suis-je trompé ? Même après des semaines sans avoir de nouvelles des puissances majeures, même après des semaines d'accalmie, si l'on peut dire cela ainsi, je ne peux m'empêcher de douter. Peut-être est-ce, ici, mon orgueil qui s'exprime... peut-être que je ne parviens pas à admettre que ces autres, plus jeunes et plus lestes, ont raison, et que tout cela n'est qu'une gigantesque opportunité.
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Peut-être.
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Il nous a quitté, et c'est maintenant à moi que revient la rédaction de ce journal. Je n'ai pu en parcourir que quelques pages avant d'être terrassé par le chagrin, et maintenant encore, je n'arrive pas à réaliser. Mon maître est mort, ce grand érudit, cet orateur éloquent, ce vieil homme qui était le dernier de sa famille et qui n'avait plus d'amis.
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Sa jeunesse est passée et le temps aussi, mais il n'y prêtait pas attention - il n'était que connaissance, que conseils, que prudence, mon maître, cet homme, et je dois reprendre sa tâche. Je ne sais pas si c'est ce qu'il aurait voulu, car il ne m'en a jamais rien dit, mais je le revois, penché sur ce journal, jour après jour, et si j'ignore ce qui le poussait à l'écrire, je ne peux me résoudre à penser qu'il faisait cela sans but.
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Était-ce pour les générations futures ? Était-ce son dernier présent, à nous, l'avenir de la connaissance, et à tous ceux qui seraient entraînés dans nos lubies ? Ou était-ce simplement pour lui-même ? Je ne sais pas - mais je continuerai.
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Une dizaine de jours est passée, trop peu pour que le chagrin commence à s'apaiser, trop peu pour que le vide qu'il a laissé commence à se combler. Je me souviens qu'il me disait souvent que j'avais tendance à digresser, et j'ai toujours su qu'il avait raison - ne suis-je pas en train de parler de lui alors que je devrais parler d'eux ?
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La brèche qui menait aux Jardins Planaires s'est refermée sans que l'on sache pourquoi il y a quelques jours, mais une autre a bientôt été découverte. D'après le peu d'informations que nous avons pu recueillir sur ce lieu, il s'agit d'une sorte de vallée funéraire, si l'on peut dire cela ainsi. Cinq tombeaux y figurent, entourées de fortifications, accessibles par de hauts escaliers.
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Les descriptions correspondent à celles d'Al-Qazard, une cité qui était tombée dans l'oubli après sa disparition inexpliquée il y a quelques siècles. Un jour, elle était là, vivante, rayonnante de la magie de ses conjurateurs, et le lendemain, elle avait disparu, s'était évanouie avec les dernières lumières du jour. Nous l'avons retrouvée, mais ce n'est plus qu'un endroit désolé, mort.
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Les Enfants d'Aurgelmir dissimulent, je le crois, de grands secrets. Une grande partie de la population pensent que les trolls ne sont que des êtres vils et stupides, tout juste bons à combattre ou à servir d'esclaves, mais la vérité est toute autre.
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Ils ont une langue, une histoire et une culture qui n'ont rien à envier à celles des hommes-lézards ou des félins ; si certains d'entre eux sont particulièrement enclins à laisser libre cours à leurs instincts les plus bas, la plupart ne choisissent pas cette voie sans raison, cette dernière prenant souvent la forme d'esclavagistes ou de gens cherchant à les déposséder de leurs terres.
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Les Enfants combattent, cela est vrai ; mais, et nul ne pourra le nier, ils prient également, ils festoient et communiquent, et l'on pourrait même dire qu'au final, ils ne sont guère différents de nous, à cela près que leurs coutumes ne sont pas les nôtres et que leurs divinités nous sont inconnues.
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Qui sait ce qui se dissimule derrière leurs mélopées, qui sait ce qu'ils murmurent entre eux quand la nuit vient, et ce qu'ils font ici, dans cette Forteresse ancienne dont on ne connaît même pas le bâtisseur ?
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* Les hautes puissances que craignaient le maître semblent comme endormies ; la Louve fait vaguement parler d'elle dans la Seconde Cité, mais rien n'est parvenu jusqu'à nous depuis des semaines. Cela n'empêche pas les Assermentés d'Issyan de lui rendre hommage, cependant. Ils attendent.
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D'après certains conjurateurs, de nouvelles brèches sont sur le point de s'ouvrir, de nouvelles choses d'émerger. Des collègues lettrés m'ont dit qu'un grand nombre de connaissances jusque-là enfouies remontaient peu à peu à la surface.
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Des arts et des arcanes oubliés resurgissent du néant où on les avait laissés. La magie n'a jamais cessé d'exister, mais l'incarnation dans nos plans d'existence de ces hautes puissances semble avoir déclenché une réaction en chaîne dont nous avons encore bien peine à déterminer les conséquences à long terme.
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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* De terribles rumeurs courent dans certaines sphères de la Cité Éternelle. Chez les maîtres de l'Arcane, on bruisse, on s'ébroue, on se secoue, on rit un peu trop fort et on a le regard un peu trop brillant. Les conjurateurs semblent préparer quelque chose, mais quoi ?
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Comme mon maître avant moi, je tremble de ce qu'il pourrait se passer bientôt ; ce n'est pas que je me méfie des arcanistes, mais l'Histoire a prouvé qu'ils étaient enclins à faire appel à des puissances qu'ils ne contrôlaient pas toujours.
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J'entends des murmures et ils évoquent bien des choses - l'odeur de l'iode et le chant des parjures, une lame gardienne et une vieille âme, un frère impardonné...
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Extrait du journal d'un érudit anonyme.
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Version du 26 décembre 2012 à 21:46

Ce que l'on appelle le journal est généralement composé d'un nombre de volumes plus qu'imposant, le fruit du travail de plusieurs générations d'érudits, le devoir et les volumes se transmettant du maître à l'apprenti depuis des générations. La coutume veut que les tomes ne soient pas signés, et que les références à l'identité de l'écrivain soient réduites au minimum.

— Annale CCXII de la Guilde des Érudits, par le scribe Alastrim

Le journal anonyme est une tradition que l'on dit aussi ancienne que la Cité Éternelle. N'importe quel maître érudit, consacré en tant que tel par la Guilde, peut en tenir un, qu'il transmettra ensuite à un ou plusieurs de ses apprentis, aucune règle ne stipulant qu'il n'est pas possible de l'écrire à plusieurs mains. Souvent utilisé pour consigner des observations sur ce qui se passe dans le monde, des hypothèses et des sujets de recherche, il est également arrivé que certains le soient comme pense-bête ou comme moyen de communication entre personnes ayant du mal à se croiser. Quand un maître s'éteint sans avoir ou sans désigner d'apprenti, son journal est récupéré par la Guilde qui va le consigner et l'entreposer dans une bibliothèque à cet effet. Il arrive également que certains en fassent don de leur vivant ou peu après les avoir récupérés (l'espace est un problème récurrent chez de nombreux érudits, semble-t-il). Enfin, il n'est pas rare que la Guilde rende publics des extraits de ces journaux, ou même que certains maîtres choisissent d'en faire des copies et de les publier, sans jamais signer cependant.


Livre I : Bouleversements

  1. Incertitude
  2. Roi des Rois
  3. Silence
  4. Attente
  5. Doute
  6. Héritage
  7. Mystère
  8. Aurgelmir
  9. Arts oubliés
  10. Arcanes


Livre II : Précis des races