Journal d'un érudit anonyme (Livre) : Différence entre versions

De Aide Battle Arenas
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{{Citation|Annale CCXII de la Guilde des Érudits, par le scribe Alastrim|Ce que l'on appelle le journal est généralement composé d'un nombre de volumes plus qu'imposant, le fruit du travail de plusieurs générations d'érudits, le devoir et les volumes se transmettant du maître à l'apprenti depuis des générations. La coutume veut que les tomes ne soient pas signés, et que les références à l'identité de l'écrivain soient réduites au minimum.}}
 
{{Citation|Annale CCXII de la Guilde des Érudits, par le scribe Alastrim|Ce que l'on appelle le journal est généralement composé d'un nombre de volumes plus qu'imposant, le fruit du travail de plusieurs générations d'érudits, le devoir et les volumes se transmettant du maître à l'apprenti depuis des générations. La coutume veut que les tomes ne soient pas signés, et que les références à l'identité de l'écrivain soient réduites au minimum.}}
  
Le journal anonyme est une tradition que l'on dit aussi ancienne que la Cité Éternelle. N'importe quel maître érudit, consacré en tant que tel par la Guilde, peut en tenir un, qu'il transmettra ensuite à un ou plusieurs de ses apprentis, aucune règle ne stipulant qu'il n'est pas possible de l'écrire à plusieurs mains. Souvent utilisé pour consigner des observations sur ce qui se passe dans le monde, des hypothèses et des sujets de recherche, il est également arrivé que certains le soient comme pense-bête ou comme moyen de communication entre personnes ayant du mal à se croiser. Quand un maître s'éteint sans avoir ou sans désigner d'apprenti, son journal est récupéré par la Guilde qui va le consigner et l'entreposer dans une bibliothèque à cet effet. Il arrive également que certains en fassent don de leur vivant ou peu après les avoir récupérés (l'espace est un problème récurrent chez de nombreux érudits, semble-t-il). Enfin, il n'est pas rare que la Guilde rende publics des extraits de ces journaux, ou même que certains maîtres choisissent d'en faire des copies et de les publier, sans jamais signer cependant.
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Le journal anonyme est une tradition que l'on dit aussi ancienne que la Cité Éternelle. N'importe quel maître érudit, consacré en tant que tel par la Guilde, peut en tenir un, qu'il transmettra ensuite à un ou plusieurs de ses apprentis, aucune règle ne stipulant qu'il n'est pas possible de l'écrire à plusieurs mains. Souvent utilisé pour consigner des observations sur ce qui se passe dans le monde, des hypothèses et des sujets de recherche, il est également arrivé que certains le soient comme pense-bête ou comme moyen de communication entre personnes ayant du mal à se croiser. Quand un maître s'éteint sans avoir ou sans désigner d'apprenti, son journal est récupéré par la Guilde qui va le consigner et l'entreposer dans une bibliothèque à cet effet. Il arrive également que certains en fassent don de leur vivant ou peu après les avoir récupérés (l'espace est un problème récurrent chez de nombreux érudits, semble-t-il). Enfin, il n'est pas rare que la Guilde rende publics des extraits de ces journaux, ou même que certains maîtres choisissent d'en faire des copies et de les publier, anonymement toujours.
  
  

Version du 26 décembre 2012 à 21:46

Ce que l'on appelle le journal est généralement composé d'un nombre de volumes plus qu'imposant, le fruit du travail de plusieurs générations d'érudits, le devoir et les volumes se transmettant du maître à l'apprenti depuis des générations. La coutume veut que les tomes ne soient pas signés, et que les références à l'identité de l'écrivain soient réduites au minimum.

— Annale CCXII de la Guilde des Érudits, par le scribe Alastrim

Le journal anonyme est une tradition que l'on dit aussi ancienne que la Cité Éternelle. N'importe quel maître érudit, consacré en tant que tel par la Guilde, peut en tenir un, qu'il transmettra ensuite à un ou plusieurs de ses apprentis, aucune règle ne stipulant qu'il n'est pas possible de l'écrire à plusieurs mains. Souvent utilisé pour consigner des observations sur ce qui se passe dans le monde, des hypothèses et des sujets de recherche, il est également arrivé que certains le soient comme pense-bête ou comme moyen de communication entre personnes ayant du mal à se croiser. Quand un maître s'éteint sans avoir ou sans désigner d'apprenti, son journal est récupéré par la Guilde qui va le consigner et l'entreposer dans une bibliothèque à cet effet. Il arrive également que certains en fassent don de leur vivant ou peu après les avoir récupérés (l'espace est un problème récurrent chez de nombreux érudits, semble-t-il). Enfin, il n'est pas rare que la Guilde rende publics des extraits de ces journaux, ou même que certains maîtres choisissent d'en faire des copies et de les publier, anonymement toujours.


Livre I : Bouleversements

  1. Incertitude
  2. Roi des Rois
  3. Silence
  4. Attente
  5. Doute
  6. Héritage
  7. Mystère
  8. Aurgelmir
  9. Arts oubliés
  10. Arcanes


Livre II : Précis des races